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.....Les plantes sont de plus en plus présentes dans les médicaments. D'abord démontrées chez les humains puis chez les autres animaux, on a remarqué que les plantes possédaient un fort apport médicinale. Qu'en sera-t-il chez les chevaux ?
Des médicaments sous contrôle
.....Avant de distribuer les médicaments, on vérifie qu'ils ont une autorisation de mise sur le marché (AMM). Pour cela, on les testes pour prouver leur efficacité et pour démontrer que les effets secondaires ou toxiques n'engendres pas de maladies.
Une histoire de temps
.....L'histoire des plantes médicinales remontent il y a bien longtemps, avant même l'arrivée des antibiotiques et anti inflammatoires. L'utilisation des plantes s'est rapidement développé et l'on en trouve de nos jours jusque dans les compléments alimentaires. Mais le plus souvent, la concentration exacte de plante n'est pas mentionnée (il y en a trop peu) et elles sont associées à des minéraux, vitamines et molécules à vocation thérapeutiques.
Avant d’en consommer, à qui s’adresser ?
.....On compte un nombre très important de plantes médicinales et dans le doute, il vaut mieux s'adresser à un vétérinaire ou un nutritionniste. Il est possible d'administrer des plantes à un cheval de diverses façons : en continue, traitement régulier (tous les jours par exemple) ou en crue, seulement de temps en tempe. Les plantes peuvent retarder ou parfois éviter l'apparition de maladies comme le plus souvent des crises d'emphysèmes.
L'absorption
de plantes n'engendres, en principe, pas d'effets secondaires. En
concours, comme à la maison, un cheval recevant un apport de plante
médicinales aura moins besoin de traitements allopathique à base de
corticoïdes et de broncho-dilatateur.