La douleur
Le cheval ne peut pas parler. Le seul moyen de savoir s’il a mal est d’observer ses réactions.
Attention car les signes de douleurs ne sont pas les mêmes chez l’homme que chez le cheval !
De plus, les équidés ne sont pas égaux face à la douleur. Certains seront sensibles aux piqûres d’insectes tandis que d’autres ne sentirons rien lors d’un vaccin chez le vétérinaire.
Bon à savoir : le cheval possède une très bonne mémoire. Il sait reconnaître les bons cavaliers (ceux qu’ils les montent sans tirer, qu’ils leur apportent des friandises…) des « mauvais » cavaliers (ceux qui cravaches leur monture ou donnent sans cesse des coups d’éperons…).
De plus, La douleur n’est pas là pour embêter le cheval mais pour prévenir qu’un de ses organismes est atteint d’une blessure ou d’un blocage.
Pour y remédier, voici quelques pratiques et médicaments qui vous seront utiles pour parler la même "langue" que votre vétérinaire.
Ce traitement est prescrit quand il y a une blessure ou un choc. Les tissus se gonflent de sang, ils deviennent rouges et chaud et cela peut devenir très douloureux pour le cheval. Pour lutter contre cette inflammation, choisis des médicament tel que l’aspirine, l’ibuprofène ou la cortisone que tu achèteras en pharmacie ou chez ton vétérinaire.Les anti inflammatoires
Les antalgiques et analgésiques
Ils luttent contre la douleur en elle-même. Certains « bloquent » les sensations, d’autres agissent au niveau de la moelle épinière ou directement au niveau du cerveau.
L’anesthésie
Si la maladie dont le cheval est atteint est trop puissante (colique), l’animal est emmené dans une salle d’opération. Pour des raisons de sécurité, le cheval est anesthésié. Cette mise en sommeil est obligatoire pour que l’animal ne ressente pas la douleur mais aussi pour faciliter le travail des vétérinaires car si le cheval était éveillé, docteurs et chirurgiens ne pourrait pas travailler minutieusement et le cheval serait paniqué jusqu'à en mourir.